Promenades retrouvées
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Ce film a été tourné quelque temps après la libération de la Seine-et-Marne, à l’issue du passage de la troisième armée du général Patton, comme le retrace le film Crime et châtiment. Le présent film célèbre pour sa part le retour à la légèreté, après cinq années de guerre et une partie passée dans la clandestinité pour le filmeur Pierre Piganiol, du fait de son action dans la résistance. La guerre n’est cependant pas finie et l'homme apparaît ici en uniforme militaire : il participera par la suite à la démobilisation du réseau qu’il a fondé avec des camarades de l’École Normale Supérieure et se rendra en Allemagne pour récupérer des documents spoliés par les Allemands (voir L'Allemagne à la Libération). Ce film compile des bonheurs simples retrouvés, des instants de douceurs passés en famille, et tout particulièrement dans la forêt de Fontainebleau, à proximité de la maison de famille de l'épouse du cinéaste, possibles depuis le retrait récent des troupes allemandes.
- Réalisateur.ice.sPierre PIGANIOL
- Année(s)1944 précisément
- Lieu(x)Fontainebleau (77)
- Durée00:07:27
- ColorationNoir & Blanc
- FormatFilm 9,5 mm
- SonMuet
- CollectionRaymond PIGANIOL
- Numéro(s) de support(s)0116FN0007
[image floue et renversée] Une jeune femme [n.doc : Monique Piganiol, l’épouse du filmeur] à la fenêtre d’une maison en bois, elle salue le filmeur. Carton : « Promenades retrouvées - Septembre ». Carton : « Les rochers d’Arbonne ». Un champ, le paysage environnant. Le jeune femme et un jeune homme [n.doc : il s’agit de Jacques Mossé, le frère de Monique Piganiol, née Mossé] devant des rochers, à leur pied un tout petit enfant [n.doc : l’aînée des enfants Piganiol, Catherine] Les arbres de la forêt sont agités par le vent, la femme et son frère avance sur un chemin. L’homme porte le bébé, qu’il place sur ses épaules avec l’aide de sa sœur. Le frère et la sœur marchent sur le chemin dans la forêt, l’homme avec le petit enfant sur ses épaules. Tous deux parcourent le chemin en forêt, l’homme porte toujours le bébé sur ses épaules. L’homme passe entre deux gros rochers. La femme le suit entre les rochers. Tous deux montent à travers les grosses pierres. Arrivés au sommet, la femme a récupéré son bébé, l’homme s’est hissé sur la grosse pierre et prend une photographie, la femme enjoint le bébé à faire signe à son père qui filme. Le paysage de la forêt de Fontainebleau, les gros rochers d’Arbonne. Le jeune homme avec son appareil photo et son sac à dos regarde le paysage. Il escalade en chaussette le gros rocher et en atteint le sommet. La femme fait tenir debout son bébé sur le rocher. L’enfant a du mal à tenir debout. Le jeune homme observe la scène depuis le sommet du rocher. Les chaussures du jeune homme posées sur la roche, la forêt de Fontainebleau s’étend en arrière-plan.
Carton : « Franchard ». Un bébé dans un jardin, il se tient à un petit chariot dans lequel se trouve un sac en cuir. L’enfant essaye de pousser le petit chariot. La mère aide l’enfant à pousser son petit chariot. L’enfant joue avec le sac en cuir. Sur la route, l’enfant pousse son petit chariot. La petite fille passe d’un pas décidé en poussant le petit chariot, toujours chargé d’un sac.
[image floue et renversée] Une jeune femme [n.doc : Monique Piganiol, l’épouse du filmeur] à la fenêtre d’une maison en bois, elle salue le filmeur. Carton : « Promenades retrouvées - Septembre ». Carton : « Les rochers d’Arbonne ». Un champ, le paysage environnant. Le jeune femme et un jeune homme [n.doc : il s’agit de Jacques Mossé, le frère de Monique Piganiol, née Mossé] devant des rochers, à leur pied un tout petit enfant [n.doc : l’aînée des enfants Piganiol, Catherine] Les arbres de la forêt sont agités par le vent, la femme et son frère avance sur un chemin. L’homme porte le bébé, qu’il place sur ses épaules avec l’aide de sa sœur. Le frère et la sœur marchent sur le chemin dans la forêt, l’homme avec le petit enfant sur ses épaules. Tous deux parcourent le chemin en forêt, l’homme porte toujours le bébé sur ses épaules. L’homme passe entre deux gros rochers. La femme le suit entre les rochers. Tous deux montent à travers les grosses pierres. Arrivés au sommet, la femme a récupéré son bébé, l’homme s’est hissé sur la grosse pierre et prend une photographie, la femme enjoint le bébé à faire signe à son père qui filme. Le paysage de la forêt de Fontainebleau, les gros rochers d’Arbonne. Le jeune homme avec son appareil photo et son sac à dos regarde le paysage. Il escalade en chaussette le gros rocher et en atteint le sommet. La femme fait tenir debout son bébé sur le rocher. L’enfant a du mal à tenir debout. Le jeune homme observe la scène depuis le sommet du rocher. Les chaussures du jeune homme posées sur la roche, la forêt de Fontainebleau s’étend en arrière-plan.
Carton : « Franchard ». Un bébé dans un jardin, il se tient à un petit chariot dans lequel se trouve un sac en cuir. L’enfant essaye de pousser le petit chariot. La mère aide l’enfant à pousser son petit chariot. L’enfant joue avec le sac en cuir. Sur la route, l’enfant pousse son petit chariot. La petite fille passe d’un pas décidé en poussant le petit chariot, toujours chargé d’un sac.
La femme avance sur un chemin avec son petit enfant, elles passent sous un arbre tortueux. La mère a pris son bébé dans ses bras et s’avance. La femme est assise, son bébé se tient debout à côté d’elle, la forêt. Un arbre. Les branchages et le chemin dans la forêt. Les rochers de la forêt de Fontainebleau. La mère et sa fille, la petite explore le terrain. La mère et la petite se promènent ensemble, la mère tient la main à la petite. L’enfant et la mère se promènent sur le chemin, la mère prend la petite dans ses bras et la dépose un peu plus loin sur un terrain plat, pour la laisser courir. La mère pousse son bébé dans le petit chariot sur un chemin. L’homme tire sa nièce, dans son petit chariot, sur un chemin, il est suivi par une femme et sa sœur. La femme tire le chariot avec le bébé, la mère prend la main de son mari, en uniforme [n.doc : Pierre Piganiol semble avoir confié la caméra à son beau-frère, Antoine Mossé, pour se promener avec sa femme et son bébé], tous avancent sur le chemin, la mère reprend le contrôle du landau. Le petit groupe descend le chemin en forêt, les femmes tirent le petit landau. Le groupe arrive à une terrasse, les trois s’installent à une petite table en métal, la femme tire le landau de l’enfant près de la table. L’enfant s’est levée, sa mère la surveille. Le père, en uniforme, se promène sur le chemin en portant son bébé qui gigote de joie. La petite fille se tient debout, sous le regard de son père. La petite est sur les épaules de son oncle, qui s’approche de la personne qui filme, elle joue. La petite sur les épaules de son oncle, elle joue avec des herbes. L’enfant sourit, elle montre les herbes qu’elle tient dans sa main, s’agitent sur les épaules de son oncle. La mère fait semblant de croquer dans le bout de nourriture que la petite lui tend, la petite met l’aliment à sa bouche, sa mère la câline. La mère chatouille la petite qui rit beaucoup, se blottit contre sa mère, toutes les deux jouent tendrement au soleil.
La mère est assise dans le jardin, elle a fait de la couture, sa fille en maillot de corps est à ses pieds. La femme passe la petite robe à son bébé, qu’elle prend sur ses genoux pour lui passer les bras dans les manches, l’enfant sourit. La mère attache la robe de la petite fille, la fait tourner pour qu’elle fasse face au filmeur, elle sourit à quelqu’un hors champ. L’enfant s’entraîne à marcher dans le jardin, sa mère se tient près d’elle. La mère lâche la petite fille, qui se met à trottiner. La petite fait quelques pas hésitants seule, elle tend son bras et s’arrête. Elle s’approche du filmeur. Elle repart. La mère porte le bébé au bras.