Pâques en Forêt de Fontainebleau et vacances d’été au chalet des Prés
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Les vacances pour les Piganiol sont l’occasion de se retrouver en nature avec leurs amis. À Pâques, il s’agit d’une grande balade dans la forêt de Fontainebleau. À la période estivale, la famille retrouve son chalet au hameau des Prés, ainsi que les Hautes Alpes et le massif des Écrins, tout particulièrement à l’occasion d’une joyeuse randonnée sur le front du Glacier Blanc, depuis le refuge du même nom.
- Réalisateur.ice.sPierre PIGANIOL
- Année(s)1957 précisément
- Durée00:16:51
- ColorationNB et Couleur
- FormatFilm 9,5 mm
- SonMuet
- CollectionRaymond PIGANIOL
- Numéro(s) de support(s)0116FN0036
Pâques en forêt de Fontainebleau [1957]
Deux voitures se croisent sur un chemin en forêt, la Citroën Deux Chevaux est conduite par une femme [n.doc : Monique Piganiol, épouse du filmeur] et remplie d’enfants. La voiture arrêtée, une jeune fille debout à travers le toit décapotable souffle sur une fleur, on sort de l’auto. On sort de l’auto et on s’active autour du véhicule, un jeune garçon blond sourit. Deux enfants [n.doc : à gauche, le cadet de la fratrie, Bertrand Piganiol] mangent des bananes, l’un porte un drôle de chapeau en fourrure avec une queue, à côté une fillette [n.doc : Hélène Piganiol, benjamine de la fratrie] tient un jeu de boules et un cerceau sur ses genoux. Le petit garçon [Bertrand] fait des grimaces, il pose ; à côté de lui le garçon au chapeau en fourrure. Deux jeunes filles sur un chemin, l’une tient un cerceau [n.doc : il s’agit de Catherine Piganiol, l’aînée des enfants], les adolescentes se cachent de la personne qui filme en riant, les garçons s’avancent vers elles, elles se cachent derrière des arbres. Le groupe sur le chemin, madame Piganiol tient un panier, les enfants ramassent des choses au sol, les adolescentes se tiennent plus loin, tout le monde s’éloigne sur le chemin. Les garçons jouent assis au sol, ils épluchent une pomme. Les garçons croquent tour à tour dans la pomme, sous le regard de la fillette, debout. Les garçons partagent la pomme. Le groupe sur le chemin, autour de Madame Piganiol, on observe le chapeau de fourrure qu’elle remet sur la tête du garçon. Le jeune garçon blond court, il croise la fillette qui court dans le sens inverse pour rejoindre la femme et se jette dans ses bras, le petit revient et court vers le garçon au chapeau à fourrure. Les adolescentes, l’une tient un petit bouquet de fleurs. Les garçons prennent un en-cas, le plus grand tient deux cerceaux qu’il place pour jouer sur les oreilles du garçon blond [Bertrand Piganiol]. Les filles assises dans l’herbe dessinent, en arrière-plan un grand pan de mur de l’aqueduc qui traverse la forêt de Fontainebleau. Les grandes filles discutent, elles sont concentrées. Le garçon blond [Bertrand] s’approche des adolescentes avec son copain, des promeneurs, l’aqueduc. L’une des adolescentes [Catherine Piagniol] se retourne puis se détourne de la personne qui filme, son amie pointe quelque chose hors-champ. Les enfants récupèrent de l’eau qui s’échappe de l’aqueduc. Le garçon blond boit dans une petite bouteille. Les adolescentes se lavent les pieds dans une petite bassine avec un savon de Marseille. Les filles rient dans leurs transats, l’une [Catherine] se lève et se cache derrière le transat. Les filles se cachent derrière la toile de la chaise de jardin. Seuls les pieds dépassent sous le fauteuil de jardin.
Deux voitures se croisent sur un chemin en forêt, la Citroën Deux Chevaux est conduite par une femme [n.doc : Monique Piganiol, épouse du filmeur] et remplie d’enfants. La voiture arrêtée, une jeune fille debout à travers le toit décapotable souffle sur une fleur, on sort de l’auto. On sort de l’auto et on s’active autour du véhicule, un jeune garçon blond sourit. Deux enfants [n.doc : à gauche, le cadet de la fratrie, Bertrand Piganiol] mangent des bananes, l’un porte un drôle de chapeau en fourrure avec une queue, à côté une fillette [n.doc : Hélène Piganiol, benjamine de la fratrie] tient un jeu de boules et un cerceau sur ses genoux. Le petit garçon [Bertrand] fait des grimaces, il pose ; à côté de lui le garçon au chapeau en fourrure. Deux jeunes filles sur un chemin, l’une tient un cerceau [n.doc : il s’agit de Catherine Piganiol, l’aînée des enfants], les adolescentes se cachent de la personne qui filme en riant, les garçons s’avancent vers elles, elles se cachent derrière des arbres. Le groupe sur le chemin, madame Piganiol tient un panier, les enfants ramassent des choses au sol, les adolescentes se tiennent plus loin, tout le monde s’éloigne sur le chemin. Les garçons jouent assis au sol, ils épluchent une pomme. Les garçons croquent tour à tour dans la pomme, sous le regard de la fillette, debout. Les garçons partagent la pomme. Le groupe sur le chemin, autour de Madame Piganiol, on observe le chapeau de fourrure qu’elle remet sur la tête du garçon. Le jeune garçon blond court, il croise la fillette qui court dans le sens inverse pour rejoindre la femme et se jette dans ses bras, le petit revient et court vers le garçon au chapeau à fourrure. Les adolescentes, l’une tient un petit bouquet de fleurs. Les garçons prennent un en-cas, le plus grand tient deux cerceaux qu’il place pour jouer sur les oreilles du garçon blond [Bertrand Piganiol]. Les filles assises dans l’herbe dessinent, en arrière-plan un grand pan de mur de l’aqueduc qui traverse la forêt de Fontainebleau. Les grandes filles discutent, elles sont concentrées. Le garçon blond [Bertrand] s’approche des adolescentes avec son copain, des promeneurs, l’aqueduc. L’une des adolescentes [Catherine Piagniol] se retourne puis se détourne de la personne qui filme, son amie pointe quelque chose hors-champ. Les enfants récupèrent de l’eau qui s’échappe de l’aqueduc. Le garçon blond boit dans une petite bouteille. Les adolescentes se lavent les pieds dans une petite bassine avec un savon de Marseille. Les filles rient dans leurs transats, l’une [Catherine] se lève et se cache derrière le transat. Les filles se cachent derrière la toile de la chaise de jardin. Seuls les pieds dépassent sous le fauteuil de jardin.
Au pied du Glacier Blanc, dans le massif des Écrins [1957]
Les deux plus jeunes enfants Piganiol, Hélène et Bertrand, posent en intérieur, sur le rebord d’une fenêtre, ils sourient, éblouis par la lumière. Trois enfants sortent de la maison en pierres, les petits mettent leurs sac à dos, ils sont suivis par une femme, focus sur un panneau sur lequel on peut lire : « Club Alpin Français – Section de Briançon – Refuge du Glacier Blanc – Alt : 2550m ». Les enfants posent, éblouis par le soleil, de nombreux promeneurs passent derrière eux, les adolescentes descendent du rocher, les sommets escarpés [n.doc : le Mont Pelvoux, le Massif des Écrins]. Les enfants assis, la petite se lève, le petit reste puis se lève à son tour, il réajuste son sac à dos, le front du glacier, des promeneurs. La petite fille retire son pull-over, elle en rit. Elle range son pull-over dans son sac à dos sur le chemin de montagne, vue sur le glacier plus haut. La petite referme son sac, elle sourit. Le petit garçon blond retire à son tour son pull-over en laine, puis le range dans son petit sac à dos. Le petit garçon brise la glace avec un piquet dans une pente, derrière lui se tient la petite fille avec un chapeau, qui le regarde faire. La petite fille brise la glace à son tour avec le piquet, elle fait quelques pas pour monter, vue sur le relief givré, au-dessus la glace épaisse. Les enfants marchent avec précaution sur la glace, ils avancent avec leur piquet. La petite fille avance sur la glace. Les enfants sur la glace, le petit s’aide de son piquet. Les enfants sont assis en bord de chemin et ils se désaltèrent. Plan serré sur l’enfant blond qui boit dans une canette. La petite boit et se découvre de son chapeau.
Les deux plus jeunes enfants Piganiol, Hélène et Bertrand, posent en intérieur, sur le rebord d’une fenêtre, ils sourient, éblouis par la lumière. Trois enfants sortent de la maison en pierres, les petits mettent leurs sac à dos, ils sont suivis par une femme, focus sur un panneau sur lequel on peut lire : « Club Alpin Français – Section de Briançon – Refuge du Glacier Blanc – Alt : 2550m ». Les enfants posent, éblouis par le soleil, de nombreux promeneurs passent derrière eux, les adolescentes descendent du rocher, les sommets escarpés [n.doc : le Mont Pelvoux, le Massif des Écrins]. Les enfants assis, la petite se lève, le petit reste puis se lève à son tour, il réajuste son sac à dos, le front du glacier, des promeneurs. La petite fille retire son pull-over, elle en rit. Elle range son pull-over dans son sac à dos sur le chemin de montagne, vue sur le glacier plus haut. La petite referme son sac, elle sourit. Le petit garçon blond retire à son tour son pull-over en laine, puis le range dans son petit sac à dos. Le petit garçon brise la glace avec un piquet dans une pente, derrière lui se tient la petite fille avec un chapeau, qui le regarde faire. La petite fille brise la glace à son tour avec le piquet, elle fait quelques pas pour monter, vue sur le relief givré, au-dessus la glace épaisse. Les enfants marchent avec précaution sur la glace, ils avancent avec leur piquet. La petite fille avance sur la glace. Les enfants sur la glace, le petit s’aide de son piquet. Les enfants sont assis en bord de chemin et ils se désaltèrent. Plan serré sur l’enfant blond qui boit dans une canette. La petite boit et se découvre de son chapeau.
Pâques en forêt de Fontainebleau [1957]
Deux voitures se croisent sur un chemin en forêt, la Citroën Deux Chevaux est conduite par une femme [n.doc : Monique Piganiol, épouse du filmeur] et remplie d’enfants. La voiture arrêtée, une jeune fille debout à travers le toit décapotable souffle sur une fleur, on sort de l’auto. On sort de l’auto et on s’active autour du véhicule, un jeune garçon blond sourit. Deux enfants [n.doc : à gauche, le cadet de la fratrie, Bertrand Piganiol] mangent des bananes, l’un porte un drôle de chapeau en fourrure avec une queue, à côté une fillette [n.doc : Hélène Piganiol, benjamine de la fratrie] tient un jeu de boules et un cerceau sur ses genoux. Le petit garçon [Bertrand] fait des grimaces, il pose ; à côté de lui le garçon au chapeau en fourrure. Deux jeunes filles sur un chemin, l’une tient un cerceau [n.doc : il s’agit de Catherine Piganiol, l’aînée des enfants], les adolescentes se cachent de la personne qui filme en riant, les garçons s’avancent vers elles, elles se cachent derrière des arbres. Le groupe sur le chemin, madame Piganiol tient un panier, les enfants ramassent des choses au sol, les adolescentes se tiennent plus loin, tout le monde s’éloigne sur le chemin. Les garçons jouent assis au sol, ils épluchent une pomme. Les garçons croquent tour à tour dans la pomme, sous le regard de la fillette, debout. Les garçons partagent la pomme. Le groupe sur le chemin, autour de Madame Piganiol, on observe le chapeau de fourrure qu’elle remet sur la tête du garçon. Le jeune garçon blond court, il croise la fillette qui court dans le sens inverse pour rejoindre la femme et se jette dans ses bras, le petit revient et court vers le garçon au chapeau à fourrure. Les adolescentes, l’une tient un petit bouquet de fleurs. Les garçons prennent un en-cas, le plus grand tient deux cerceaux qu’il place pour jouer sur les oreilles du garçon blond [Bertrand Piganiol]. Les filles assises dans l’herbe dessinent, en arrière-plan un grand pan de mur de l’aqueduc qui traverse la forêt de Fontainebleau. Les grandes filles discutent, elles sont concentrées. Le garçon blond [Bertrand] s’approche des adolescentes avec son copain, des promeneurs, l’aqueduc. L’une des adolescentes [Catherine Piagniol] se retourne puis se détourne de la personne qui filme, son amie pointe quelque chose hors-champ. Les enfants récupèrent de l’eau qui s’échappe de l’aqueduc. Le garçon blond boit dans une petite bouteille. Les adolescentes se lavent les pieds dans une petite bassine avec un savon de Marseille. Les filles rient dans leurs transats, l’une [Catherine] se lève et se cache derrière le transat. Les filles se cachent derrière la toile de la chaise de jardin. Seuls les pieds dépassent sous le fauteuil de jardin.
Deux voitures se croisent sur un chemin en forêt, la Citroën Deux Chevaux est conduite par une femme [n.doc : Monique Piganiol, épouse du filmeur] et remplie d’enfants. La voiture arrêtée, une jeune fille debout à travers le toit décapotable souffle sur une fleur, on sort de l’auto. On sort de l’auto et on s’active autour du véhicule, un jeune garçon blond sourit. Deux enfants [n.doc : à gauche, le cadet de la fratrie, Bertrand Piganiol] mangent des bananes, l’un porte un drôle de chapeau en fourrure avec une queue, à côté une fillette [n.doc : Hélène Piganiol, benjamine de la fratrie] tient un jeu de boules et un cerceau sur ses genoux. Le petit garçon [Bertrand] fait des grimaces, il pose ; à côté de lui le garçon au chapeau en fourrure. Deux jeunes filles sur un chemin, l’une tient un cerceau [n.doc : il s’agit de Catherine Piganiol, l’aînée des enfants], les adolescentes se cachent de la personne qui filme en riant, les garçons s’avancent vers elles, elles se cachent derrière des arbres. Le groupe sur le chemin, madame Piganiol tient un panier, les enfants ramassent des choses au sol, les adolescentes se tiennent plus loin, tout le monde s’éloigne sur le chemin. Les garçons jouent assis au sol, ils épluchent une pomme. Les garçons croquent tour à tour dans la pomme, sous le regard de la fillette, debout. Les garçons partagent la pomme. Le groupe sur le chemin, autour de Madame Piganiol, on observe le chapeau de fourrure qu’elle remet sur la tête du garçon. Le jeune garçon blond court, il croise la fillette qui court dans le sens inverse pour rejoindre la femme et se jette dans ses bras, le petit revient et court vers le garçon au chapeau à fourrure. Les adolescentes, l’une tient un petit bouquet de fleurs. Les garçons prennent un en-cas, le plus grand tient deux cerceaux qu’il place pour jouer sur les oreilles du garçon blond [Bertrand Piganiol]. Les filles assises dans l’herbe dessinent, en arrière-plan un grand pan de mur de l’aqueduc qui traverse la forêt de Fontainebleau. Les grandes filles discutent, elles sont concentrées. Le garçon blond [Bertrand] s’approche des adolescentes avec son copain, des promeneurs, l’aqueduc. L’une des adolescentes [Catherine Piagniol] se retourne puis se détourne de la personne qui filme, son amie pointe quelque chose hors-champ. Les enfants récupèrent de l’eau qui s’échappe de l’aqueduc. Le garçon blond boit dans une petite bouteille. Les adolescentes se lavent les pieds dans une petite bassine avec un savon de Marseille. Les filles rient dans leurs transats, l’une [Catherine] se lève et se cache derrière le transat. Les filles se cachent derrière la toile de la chaise de jardin. Seuls les pieds dépassent sous le fauteuil de jardin.
Au pied du Glacier Blanc, dans le massif des Écrins [1957]
Les deux plus jeunes enfants Piganiol, Hélène et Bertrand, posent en intérieur, sur le rebord d’une fenêtre, ils sourient, éblouis par la lumière. Trois enfants sortent de la maison en pierres, les petits mettent leurs sac à dos, ils sont suivis par une femme, focus sur un panneau sur lequel on peut lire : « Club Alpin Français – Section de Briançon – Refuge du Glacier Blanc – Alt : 2550m ». Les enfants posent, éblouis par le soleil, de nombreux promeneurs passent derrière eux, les adolescentes descendent du rocher, les sommets escarpés [n.doc : le Mont Pelvoux, le Massif des Écrins]. Les enfants assis, la petite se lève, le petit reste puis se lève à son tour, il réajuste son sac à dos, le front du glacier, des promeneurs. La petite fille retire son pull-over, elle en rit. Elle range son pull-over dans son sac à dos sur le chemin de montagne, vue sur le glacier plus haut. La petite referme son sac, elle sourit. Le petit garçon blond retire à son tour son pull-over en laine, puis le range dans son petit sac à dos. Le petit garçon brise la glace avec un piquet dans une pente, derrière lui se tient la petite fille avec un chapeau, qui le regarde faire. La petite fille brise la glace à son tour avec le piquet, elle fait quelques pas pour monter, vue sur le relief givré, au-dessus la glace épaisse. Les enfants marchent avec précaution sur la glace, ils avancent avec leur piquet. La petite fille avance sur la glace. Les enfants sur la glace, le petit s’aide de son piquet. Les enfants sont assis en bord de chemin et ils se désaltèrent. Plan serré sur l’enfant blond qui boit dans une canette. La petite boit et se découvre de son chapeau.
Les deux plus jeunes enfants Piganiol, Hélène et Bertrand, posent en intérieur, sur le rebord d’une fenêtre, ils sourient, éblouis par la lumière. Trois enfants sortent de la maison en pierres, les petits mettent leurs sac à dos, ils sont suivis par une femme, focus sur un panneau sur lequel on peut lire : « Club Alpin Français – Section de Briançon – Refuge du Glacier Blanc – Alt : 2550m ». Les enfants posent, éblouis par le soleil, de nombreux promeneurs passent derrière eux, les adolescentes descendent du rocher, les sommets escarpés [n.doc : le Mont Pelvoux, le Massif des Écrins]. Les enfants assis, la petite se lève, le petit reste puis se lève à son tour, il réajuste son sac à dos, le front du glacier, des promeneurs. La petite fille retire son pull-over, elle en rit. Elle range son pull-over dans son sac à dos sur le chemin de montagne, vue sur le glacier plus haut. La petite referme son sac, elle sourit. Le petit garçon blond retire à son tour son pull-over en laine, puis le range dans son petit sac à dos. Le petit garçon brise la glace avec un piquet dans une pente, derrière lui se tient la petite fille avec un chapeau, qui le regarde faire. La petite fille brise la glace à son tour avec le piquet, elle fait quelques pas pour monter, vue sur le relief givré, au-dessus la glace épaisse. Les enfants marchent avec précaution sur la glace, ils avancent avec leur piquet. La petite fille avance sur la glace. Les enfants sur la glace, le petit s’aide de son piquet. Les enfants sont assis en bord de chemin et ils se désaltèrent. Plan serré sur l’enfant blond qui boit dans une canette. La petite boit et se découvre de son chapeau.
En allant et en revenant des courses [1957]
Carton : « Courses aux Prés ». La mère sort du chalet, des chaussures de randonnée sont disposées sur le bord des fenêtres, elle descend du perron, son sac à la main, elle passe sous le fil à linge et rejoint ses enfants qui courent. Les enfants et la femme traversent le jardin, on porte des caisses de bouteilles. On descend vers la voiture garée en bas avec les caisses de bouteilles. La femme charge les caisses dans le coffre de la 2CV. Elle en met d’autres à l’arrière de la voiture. La voiture démarre pour rejoindre le chemin depuis le champ. La femme effectue une marche à arrière pour se positionner sur le chemin. La femme passe au volant de la voiture. La 2CV sur le chemin, un enfant salue la voiture qui passe, puis lui court après, tandis qu’elle s’approche. La voiture fait une marche arrière, sous le regard de l’enfant qui tourne autour. Une femme tient une petite cocotte dans un papier et remonte le champ, les enfants ont accouru pour décharger la voiture, la mère sort les courses. On se saisit des paniers à remonter au chalet, une voiture passe sur le chemin en contrebas.
Carton : « Courses aux Prés ». La mère sort du chalet, des chaussures de randonnée sont disposées sur le bord des fenêtres, elle descend du perron, son sac à la main, elle passe sous le fil à linge et rejoint ses enfants qui courent. Les enfants et la femme traversent le jardin, on porte des caisses de bouteilles. On descend vers la voiture garée en bas avec les caisses de bouteilles. La femme charge les caisses dans le coffre de la 2CV. Elle en met d’autres à l’arrière de la voiture. La voiture démarre pour rejoindre le chemin depuis le champ. La femme effectue une marche à arrière pour se positionner sur le chemin. La femme passe au volant de la voiture. La 2CV sur le chemin, un enfant salue la voiture qui passe, puis lui court après, tandis qu’elle s’approche. La voiture fait une marche arrière, sous le regard de l’enfant qui tourne autour. Une femme tient une petite cocotte dans un papier et remonte le champ, les enfants ont accouru pour décharger la voiture, la mère sort les courses. On se saisit des paniers à remonter au chalet, une voiture passe sur le chemin en contrebas.
Entretien du jardin au Prés [1957]
Carton [à l’envers, en surimpression sur le paysage] : « Nettoyage au prés ». Le petit garçon blond ramasse de l’herbe séchée dans le champ, il fait de petits tas avec son râteau. L’enfant assidu à la tache, il attrape beaucoup d’herbes avec son râteau. Un adolescent [n.doc : Raymond Piganiol, le fils du filmeur] fauche de hautes herbes à l’aide d’une faux.
Carton [à l’envers, en surimpression sur le paysage] : « Nettoyage au prés ». Le petit garçon blond ramasse de l’herbe séchée dans le champ, il fait de petits tas avec son râteau. L’enfant assidu à la tache, il attrape beaucoup d’herbes avec son râteau. Un adolescent [n.doc : Raymond Piganiol, le fils du filmeur] fauche de hautes herbes à l’aide d’une faux.
Cueillette de fruits sauvages [1957]
Carton : « Préparatifs ». Deux adolescentes [Catherine Piganiol et son amie] s’avancent sur le chemin, les parents se tiennent devant le chalet. On charge la voiture. Plan serré, on cueille des fraises des bois. Le petit garçon blond, accroupi dans l’herbe, sa sœur tient une gamelle en fer, on ramasse des fruits sauvages en nature. Tout le monde est occupé à ramasser des fruits sauvages, vue sur le massif des Écrins. La femme baissée ramasse des fruits, le petit garçon blond passe. La petite fille s’avance vers sa mère, sa gamelle à la main. Plan serré de la femme ramassant des fruits qu’elle place dans un pot de miel vide, elle se relève. L’enfant avec sa gamelle, elle se déplace et le pose sur un rocher.
Carton : « Préparatifs ». Deux adolescentes [Catherine Piganiol et son amie] s’avancent sur le chemin, les parents se tiennent devant le chalet. On charge la voiture. Plan serré, on cueille des fraises des bois. Le petit garçon blond, accroupi dans l’herbe, sa sœur tient une gamelle en fer, on ramasse des fruits sauvages en nature. Tout le monde est occupé à ramasser des fruits sauvages, vue sur le massif des Écrins. La femme baissée ramasse des fruits, le petit garçon blond passe. La petite fille s’avance vers sa mère, sa gamelle à la main. Plan serré de la femme ramassant des fruits qu’elle place dans un pot de miel vide, elle se relève. L’enfant avec sa gamelle, elle se déplace et le pose sur un rocher.
Jeux et entretien du jardin (suite) [1957]
Le petit garçon blond monte le long d’une échelle en bois qui mène à une passerelle en bois. Il traverse la passerelle en bois et descend de l’autre côté. La petite fille à la tête en bas, pendue à une balançoire, elle fait des figures et descend, elle a sa robe par-dessus la tête. La petite fille sur un trapèze, elle s’assoit puis se suspend, elle lâche ses bras. Le petit garçon monte sur une échelle en corde, il se suspend tête en bas à son tour, la fillette fait le cochon pendu à côté. Les cordes de la balançoire. La femme nettoie la portière de la 2CV, puis vue sur les sommets. Les deux garçons au jardin, ils nettoient le jardin, le petit déplace des herbes avec son râteau. Les deux garçons au travail au jardin. Le petit garçon blond porte une pelle aussi grande que lui. Il creuse le sol avec sa pelle. La petite fille sur un banc, à côté de la voiture, elle se lève.
Le petit garçon blond monte le long d’une échelle en bois qui mène à une passerelle en bois. Il traverse la passerelle en bois et descend de l’autre côté. La petite fille à la tête en bas, pendue à une balançoire, elle fait des figures et descend, elle a sa robe par-dessus la tête. La petite fille sur un trapèze, elle s’assoit puis se suspend, elle lâche ses bras. Le petit garçon monte sur une échelle en corde, il se suspend tête en bas à son tour, la fillette fait le cochon pendu à côté. Les cordes de la balançoire. La femme nettoie la portière de la 2CV, puis vue sur les sommets. Les deux garçons au jardin, ils nettoient le jardin, le petit déplace des herbes avec son râteau. Les deux garçons au travail au jardin. Le petit garçon blond porte une pelle aussi grande que lui. Il creuse le sol avec sa pelle. La petite fille sur un banc, à côté de la voiture, elle se lève.