Mariage à l’église et jeux de couples pendant la réception
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Dans un premier temps, ce film retranscrit la partie la plus traditionnelle d’un mariage : la cérémonie religieuse. Le couple de mariés s’échange leurs vœux devant l’officiant, avant de signer les papiers officiels, en compagnie de leurs témoins respectifs. La seconde partie du film est consacrée à un drôle de jeux au cours duquel des couples s’affrontent pour manger le plus rapidement possible une banane que chacun croque par une extrémité, le tout en dansant et – bien sûr ! – sans les mains. Cette séquence illustre à elle seule l’ambiance festive par excellence des mariages, temps fort de la vie religieuse et occasion sans pareil de réunir famille et amis dans une grande fête.
- Réalisateur.ice.sGérard FEHR
- Année(s)1980 environ
- Durée00:03:25
- ColorationCouleur
- FormatFilm super 8
- SonMuet sonorisé
- CollectionJean-Denis FEHR
- Numéro(s) de support(s)0287FI0007
Un couple de mariés à l’autel de l’église, les témoins et un enfant de chœur se tiennent autour d’eux pendant qu’ils s’échangent leurs paroles réciproques. L’officiant lit un texte à l’assemblée, entouré par des enfants de chœur. Les mariés prononcent leurs vœux devant l’officiant qui leur tend un micro. La mariée signe le registre sous la direction de l’officiant, on la prend en photographie, les témoins se tiennent à proximité. C’est au tour de l’époux de signer les papiers, les témoins lui font suite. Une jeune femme en débardeur signe à l’endroit que lui indique le prêtre. Puis un jeune homme avec une chemise à large col signe à son tour.
Dans une salle des fêtes, des couples dansent, les mains dans le dos, en tenant chacun par une extrémité une banane dans leur bouche. Le but du jeu étant probablement pour les couples de manger la banane le plus vite, sans l’aide des mains. Autour des couples, certains des invités filment et photographient la scène, un homme dirige sa compagne pour ne pas que le fruit entre eux se brise. Un couple en costumes, une personne en policier et une femme portant en sombrero, ont presque fini leur banane, une femme dans l’assistance les pointe du doigt. Le moment fatidique approche, l’une des deux fait signer de s’arrêter, les deux personnes semblent s’embrasser, on les filme. Un autre couple continue la danse. La mariée au premier plan. Les couples se prêtent au jeu. Un cuisinier lève sa tasse de café au filmeur. De grandes tablées sont installées, une partie des convives est assise. L’un des couples à la banane s’est baissé puis se relève, de l’autre côté de la pièce un autre filmeur illumine la piste de danse. Les couples continuent leur épreuve, avec plus ou moins de succès, ils sont obligés de s’accroupir, puis doivent se relever sans briser le fruit, un couple est en difficulté mais parvient à se relever. Un couple apparaît fort concentré dans le but de manger le fruit sans le casser, plan serré. Un couple danse, le fruit dans la bouche, un autre couple passe dans le champ.
Un couple de mariés à l’autel de l’église, les témoins et un enfant de chœur se tiennent autour d’eux pendant qu’ils s’échangent leurs paroles réciproques. L’officiant lit un texte à l’assemblée, entouré par des enfants de chœur. Les mariés prononcent leurs vœux devant l’officiant qui leur tend un micro. La mariée signe le registre sous la direction de l’officiant, on la prend en photographie, les témoins se tiennent à proximité. C’est au tour de l’époux de signer les papiers, les témoins lui font suite. Une jeune femme en débardeur signe à l’endroit que lui indique le prêtre. Puis un jeune homme avec une chemise à large col signe à son tour.
Dans une salle des fêtes, des couples dansent, les mains dans le dos, en tenant chacun par une extrémité une banane dans leur bouche. Le but du jeu étant probablement pour les couples de manger la banane le plus vite, sans l’aide des mains. Autour des couples, certains des invités filment et photographient la scène, un homme dirige sa compagne pour ne pas que le fruit entre eux se brise. Un couple en costumes, une personne en policier et une femme portant en sombrero, ont presque fini leur banane, une femme dans l’assistance les pointe du doigt. Le moment fatidique approche, l’une des deux fait signer de s’arrêter, les deux personnes semblent s’embrasser, on les filme. Un autre couple continue la danse. La mariée au premier plan. Les couples se prêtent au jeu. Un cuisinier lève sa tasse de café au filmeur. De grandes tablées sont installées, une partie des convives est assise. L’un des couples à la banane s’est baissé puis se relève, de l’autre côté de la pièce un autre filmeur illumine la piste de danse. Les couples continuent leur épreuve, avec plus ou moins de succès, ils sont obligés de s’accroupir, puis doivent se relever sans briser le fruit, un couple est en difficulté mais parvient à se relever. Un couple apparaît fort concentré dans le but de manger le fruit sans le casser, plan serré. Un couple danse, le fruit dans la bouche, un autre couple passe dans le champ.
