La petite apprentie sorcière – Une soirée costumée chez des amis
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Ce court film s’articule autour de deux séquences principales, la première étant un petit conte de fiction retraçant les aventures d’une apprentie sorcière. La benjamine des Roussel a en effet reçu pour Noël un livre et une boîte de magie. Son père se sert de ses talents de monteur vidéo pour mettre en scène les exploits de la petite fée qui, grâce à la magie du montage, transforme tour à tour un vase de fleurs en trompette, une trompette en orange, ou encore substitue son frère à sa sœur. L’usage de la caméra est ici à la fois mis au service de la production de souvenir pour la famille, en préservant pour la postérité les jeux éphémères d’une enfant, mais également d’une activité créative, grâce à la mise en scène, au montage des effets et à l’écriture d’un véritable petit conte.
Le deuxième temps du film est consacré à une grande soirée déguisée organisée par un ou des amis du couple Roussel. Le filmeur, s’il s’est donné pour mission d’enregistrer les meilleurs moments de cette fête, n’oublie toutefois pas de profiter de la soirée. Il sait également capter l’attention en réalisant pour le public de ses amis une danse magistrale en kilt.
- Réalisateur.ice.sYves ROUSSEL
- Année(s)1977 précisément
- Lieu(x)Dijon (21)
- Durée00:12:27
- ColorationCouleur
- FormatFilm super 8
- SonSonore
- CollectionYves ROUSSEL
- Numéro(s) de support(s)0237FI0014
[n.doc : la séquences est narrée par père] Dans le salon de la famille Roussel, la petite dernière apporte sur la table basse un gros livre, une boîte de magie, ainsi qu’un costume de fée. Elle pose sa baguette en évidence, déplie sa robe, revêt son chapeau pointu et brillant avec une voilette. La petite fille est habillée en magicienne, elle consulte son livre, la boîte de magie est redressée et ouverte, puis elle le ferme, se saisit de sa baguette. D’un coup de baguette magique, la table du salon est débarrassée de ses affaires et se trouve seulement décorée d’un petit vase. La petite fille entre dans le champ, elle frappe de sa baguette la rose dans le vase qui se transforme en trompette. Elle hoche la tête, ne semble pas convaincue et transforme à nouveau la petite trompette en orange, dont elle se saisit en souriant. La petite fille et sa grande sœur sont assises sur des fauteuils dans le salon, la petite touche sa sœur de sa baguette, c’est alors le grand frère qui apparaît, il semble surpris et regarde avec étonnement sa petite sœur. La petite fée transforme d’un coup de baguette son frère en un gros ours en peluche qu’elle prend dans ses bras, puis se rassoit avec dans le fauteuil. La petite fée fait une petite révérence, elle se donne un coup de baguette sur la tête et disparaît.
Focus sur les jambes des deux fillettes Roussel en train de danser, l’une porte des chaussettes dépareillées, l’autre une robe vichy ; elles dansent. PANO vertical haut, la grande est déguisée en personnage, sûrement « Fifi Brindacier » avec ses grandes tresses blondes qui tiennent en l’air, elle sourit à pleines dents, les fillettes dansent, tournent sur elles-mêmes, sautillent les mains sur les hanches, puis portrait de l’adolescente blonde souriant. [blanc]
[n.doc : la séquences est narrée par père] Dans le salon de la famille Roussel, la petite dernière apporte sur la table basse un gros livre, une boîte de magie, ainsi qu’un costume de fée. Elle pose sa baguette en évidence, déplie sa robe, revêt son chapeau pointu et brillant avec une voilette. La petite fille est habillée en magicienne, elle consulte son livre, la boîte de magie est redressée et ouverte, puis elle le ferme, se saisit de sa baguette. D’un coup de baguette magique, la table du salon est débarrassée de ses affaires et se trouve seulement décorée d’un petit vase. La petite fille entre dans le champ, elle frappe de sa baguette la rose dans le vase qui se transforme en trompette. Elle hoche la tête, ne semble pas convaincue et transforme à nouveau la petite trompette en orange, dont elle se saisit en souriant. La petite fille et sa grande sœur sont assises sur des fauteuils dans le salon, la petite touche sa sœur de sa baguette, c’est alors le grand frère qui apparaît, il semble surpris et regarde avec étonnement sa petite sœur. La petite fée transforme d’un coup de baguette son frère en un gros ours en peluche qu’elle prend dans ses bras, puis se rassoit avec dans le fauteuil. La petite fée fait une petite révérence, elle se donne un coup de baguette sur la tête et disparaît.
Focus sur les jambes des deux fillettes Roussel en train de danser, l’une porte des chaussettes dépareillées, l’autre une robe vichy ; elles dansent. PANO vertical haut, la grande est déguisée en personnage, sûrement « Fifi Brindacier » avec ses grandes tresses blondes qui tiennent en l’air, elle sourit à pleines dents, les fillettes dansent, tournent sur elles-mêmes, sautillent les mains sur les hanches, puis portrait de l’adolescente blonde souriant. [blanc]
Carton : « Roussel films ». Soirée déguisée, plusieurs convives autour d’une petite table dans un salon, une femme porte un déguisement d’indienne, un homme porte un chapeau sombrero, la femme en bout de table ne semble pas costumée, on se sert à manger, focus sur la femme en indienne. Un homme déguisé en mousquetaire sert à boire à un homme déguisé en brigand chauve, les convives sont dans des tenues diverses et variées, focus sur un couple. Des invités déguisés se servent du fromage autour de la table du repas. Un cowboy, les invités magnent, une femme [n.doc : madame Roussel] porte une perruque blonde avec deux grandes tresses. De l’autre côté de la table, une femme déguisée en diablotin se sert du fromage dans une assiette qu’on lui tend. Trois hommes sont assis sur un canapé, seul celui de gauche a l’air costumé, ils semblent manger sur la table basse. Des convives sont attablés, on boit des verres de vin. Une femme en tenue chinoise s’enfuit. Un homme en kilt écossais salue la caméra [n.doc : il s’agit du filmeur], des convives sont attablés, zoom avant [flou]. L’homme en kilt se tient devant la cheminée, il plie les jambes, puis va s’asseoir à table avec d’autres convives. Des couples costumés dansent, certains des invités sont restés assis et les regardent. Un homme se recoiffe, une femme l’observe faire, puis lui prend la main pour danser. Les couples dansent serrés les uns contre les autres, un homme avec un grand sombrero, madame Roussel danse avec un cow-boy qui menace le filmeur de son arme. Des convives sont assis, focus et zoom avant sur une femme dans un costume bleu, elle est éblouie par la lumière de la caméra. Le cow-boy, il semble ébloui par la caméra, le filmeur s’approche, il baisse son chapeau sur son visage. L’homme au sombrero, quelques convives sont assis sur le canapé, une femme est invitée à danser, focus sur l’une des femmes assises portant un turban, elle détourne le visage. L’homme au sombrero est assis sur une chaise, le filmeur s’approche, le mousquetaire va pour emprunter le chapeau de l’homme. Les couples dansent, un homme en habit de sultan, il fait tournoyer sur la piste une femme qui ne semble pas déguisée, elle passe à plusieurs reprises sous son bras. L’homme au sombrero et sa partenaire indienne, elle lui enlève quelque chose de la figure. Le cow-boy est avachi dans un fauteuil, il sourit. L’indienne est assise à table, la caméra se baisse, elle cligne fortement des yeux, le filmeur s’approche, elle recommence à battre des paupières. Madame Roussel avec sa perruque blonde danse avec l’homme au sombrero, elle se retourne vers le filmeur et rit. L’homme au sombrero est au milieu de la pièce, il se retourne et réajuste son chapeau vers l’avant, lui cachant la figure. L’homme en kilt [n.doc : le filmeur] exécute une danse seul au milieu du salon, tous les convives semblent l’observer, il saute et fait de grands gestes, croise les jambes, puis salue l’assemblée qui l’applaudit, il reprend une danse, fait sauter son kilt. Le groupe danse le madison, les invités suivent les pas les uns sur les autres, tout le monde se tourne en sautant en même temps, le cow-boy fait des tours de salon d’un pas décidé, autour des danseurs. Le mousquetaire inspecte un faux pistolet, assis sur un fauteuil. Des femmes discutent en fumant dans des fauteuil. Le filmeur et sa femme dansent un slow au milieu du salon, un ballon de baudruche passe dans le champ, il rebondit, la femme le renvoie plusieurs fois, l’homme porte un nez rouge et un chapeau de marin en plus de son kilt, sa femme à la perruque blonde lui retire son nez de clown et le regarde avec tendresse. La femme déguisée en indienne effectue une danse dans le salon, avec des mouvements inspirés par son costume, en agitant les bras et en tournant en rond ; derrière elle, madame Roussel danse avec l’homme au sombrero. Madame Roussel et l’homme au sombrero, posé dans son dos, dansent. Des femmes assises dans le canapé dégustent probablement le dessert dans des assiettes, la femme en indienne fait des grimaces, la femme en bleu à côté d’elle mange et rit. Le cow-boy est assis dans un fauteuil, il parle d’une manière animée et avec les mains en direction du filmeur. L’homme en kilt [n.doc : le filmeur] joue avec la sorte de bourse en fausse fourrure sur le devant de son costume, il porte à nouveau un nez rouge de clown. Le couple Roussel, l’homme en kilt est étendu sur les genoux de sa femme qui le chatouille avec sa grande perruque blonde, d’autres invités sont également assis tout autour du salon.
