Hiver et Pâques en région parisienne
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Il s’agit ici du premier film de famille -très maîtrisé - de Pierre Piganiol, fils d’André Piganiol, cinéaste avant lui. On suit la petite famille et notamment la première fille du couple, à travers les saisons, de l’hiver parisien au printemps et l’été à la campagne, à Macherin, petit village à proximité de Barbizon et Fontainebleau, aujourd’hui faisant partie de la commune de Saint-Martin-en-Bière.
- Réalisateur.ice.sPierre PIGANIOL
- Année(s)1945 précisément
- Lieu(x)Paris (75), Barbizon (77), Fontainebleau (77)
- Durée00:09:02
- ColorationNoir & Blanc
- FormatFilm 9,5 mm
- SonMuet
- CollectionRaymond PIGANIOL
- Numéro(s) de support(s)0116FN0010
Carton : « 1945 ». Une main tourne la page et carton : « Hiver parisien ». Une femme [n.doc : Monique Piagniol, née Mossé] s’avance dans une rue couverte par une épaisse couche de neige en tenant la main à une petite enfant [n.doc : la petite Catherine, premier enfant du couple]. La petite enfant emmitouflée marche dans la neige. L’enfant s’approche. L’enfant est tombée dans la neige, se relève, sa mère lui lance un peu de neige. La femme et l’enfant dans la neige, elles sourient. La petite enfant dans la neige. La petite enfant et la femme avancent dans la rue, l’enfant s’élance seul et rapidement, avec confiance. La petite enfant marche dans la neige et perd parfois son équilibre, mais continue son chemin. Un homme [n.doc : son père, le filmeur Pierre Piganiol] aide le petit enfant à descendre l’escalier, il jette un peu de neige et soulève l’enfant sur les marches, puis le fait glisser.
Carton : « Pâques à Macherin ». La petite enfant monte avec difficultés les marches d’un escalier au jardin, avec un petit panier et un bouquet au bras. L’enfant se baisse et arrache une fleur pour son petit bouquet. Un homme portant un béret, des lunettes et un imperméable entre dans le jardin [n.doc : certainement le grand-père maternel, Fernand Mossé]. Sur une petite route, une personne au loin marche avec un enfant. La femme s’approche en portant l’enfant dans ses bras. Elle pose la petite fille au sol, elle court à côté de la petite sur le chemin. Une auto est garée sur le bas-côté de la route, devant une maison en pierres, on est sorti de l’auto et on discute. Le père tient la petite dans ses bras, une femme entre dans l’auto et la petite se penche vers elle.
Carton : « 1945 ». Une main tourne la page et carton : « Hiver parisien ». Une femme [n.doc : Monique Piagniol, née Mossé] s’avance dans une rue couverte par une épaisse couche de neige en tenant la main à une petite enfant [n.doc : la petite Catherine, premier enfant du couple]. La petite enfant emmitouflée marche dans la neige. L’enfant s’approche. L’enfant est tombée dans la neige, se relève, sa mère lui lance un peu de neige. La femme et l’enfant dans la neige, elles sourient. La petite enfant dans la neige. La petite enfant et la femme avancent dans la rue, l’enfant s’élance seul et rapidement, avec confiance. La petite enfant marche dans la neige et perd parfois son équilibre, mais continue son chemin. Un homme [n.doc : son père, le filmeur Pierre Piganiol] aide le petit enfant à descendre l’escalier, il jette un peu de neige et soulève l’enfant sur les marches, puis le fait glisser.
Carton : « Pâques à Macherin ». La petite enfant monte avec difficultés les marches d’un escalier au jardin, avec un petit panier et un bouquet au bras. L’enfant se baisse et arrache une fleur pour son petit bouquet. Un homme portant un béret, des lunettes et un imperméable entre dans le jardin [n.doc : certainement le grand-père maternel, Fernand Mossé]. Sur une petite route, une personne au loin marche avec un enfant. La femme s’approche en portant l’enfant dans ses bras. Elle pose la petite fille au sol, elle court à côté de la petite sur le chemin. Une auto est garée sur le bas-côté de la route, devant une maison en pierres, on est sorti de l’auto et on discute. Le père tient la petite dans ses bras, une femme entre dans l’auto et la petite se penche vers elle.
Carton : « Les conquérants de la Dame-Jeanne ». Un homme escalade sans cordage la paroi d’un rocher. L’homme en contre-plongée continu de monter. L’homme s’est encordé, il approche du sommet du rocher, un homme se trouve tout en haut du rocher et s’occupe de la corde. Un arbre en premier plan, derrière les silhouettes des hommes escaladant le rocher se détachent. Un homme encordé escalade à son tour la paroi, il cherche des prises.
La petite fille au jardin. Un cerisier en fleurs, derrière lui un muret, un champ. Des avions passent dans le ciel dégagé. Le couple se promène dans un verger. Plusieurs personnes sont dans le verger. La femme [Monique Piganiol] sous un cerisier en fleur secoué par le vent, elle tricote, elle semble enceinte. Elle pose derrière une branche fleurie de cerisier avec son ouvrage de tricot. La femme au soleil au jardin, ses aiguilles en main. La petite enfant dans de la paille, elle joue avec son chapeau. La petite pousse la porte du jardin. Elle monte quelques marches pour entrer dans la maison. Les plants du jardin, l’homme [Pierre Piganiol], déambule.
Carton : « Les uns rentrent... » Depuis un point de vue en hauteur, vue sur le bâtiment de la gare de Fontainebleau-Avron, les quais en contrebas sont noirs de monde. Les quais chargés de la petite gare, le train s’approche en fumant beaucoup. Deux trains se croisent en dégageant beaucoup de fumée. Gros plan sur des hommes montant dans le train, avec de grosses valises. Le couple et l’enfant observent la gare depuis un pont. Une locomotive fumante et son chargement, certainement de charbon, la fumée dense qui s’échappe. Panneau « Paris » sur le train. Un homme se tient dans l’embrasure d’une porte de wagon. La voiture 13. La petite enfant marche sur la route. L’enfant, avec sa mère, rejoint le père au bord d’un pont. Le couple et l’enfant de l’autre côté de la route. Carton : « ...les autres restent. » La femme tricotant sur une chaise de jardin, elle fait mine de s’énerver en constatant qu’elle est filmée, elle est concentrée. L’homme en train de lire à une table de jardin, le café est servi, à côté, la femme tricote. Le père pose la petite au sol, ils s’avancent ensemble dans le jardin en contournant la petite table, l’enfant s’approche de la chaise pour jouer. Un homme [n.doc : certainement Jacques Mossé, le frère de Monique Piganiol] photographie la petite fille à l’entrée de la maison, la mère se tient dans l’embrasure de la porte. Les oies et les poules dans la basse-cour. La petite fille est dans la basse-cour, les oiseaux s’approchent d’elle. Les oiseaux passe derrière elle, elle se tient là. La petite caresse un petit animal, puis elle l’attrape. Une femme tient à bout de bras le lapin que caresse la petite, le lapin saute et la petite se recule, un peu effrayée, la femme le tient et lui présente à nouveau. La petite fille a fait un petit bouquet de fleurs. La petite fille joue avec un jouet dans la maison, elle l’embrasse. La petite fille s’amuse, assise au soleil, elle se balance sur un pouf, elle tient ses jouets. La petite et ses nombreux jouets. La petite tente de mettre un gilet, on lui prend des mains. La petite fille s’empare d’une panière. Elle se rassoit avec ses jouets sur le pouf. Elle tient sa panière et un poupon sur ses genoux, elle tient le poupon contre elle. Une chaise en osier. [très rapide] Une vue de la ville détruite.
La petite fille se promène avec son panier. Elle court vers la personne qui filme à plusieurs reprises, son panier à la main. La petite fille passe le seuil d’une porte avec son panier. Elle s’est arrêtée devant un grillage, au bas d’un escalier. Elle est arrêtée sur un chemin, deux paniers à la main : des garçons s’adressent à elle et l’encouragent à se tourner vers la personne qui filme, puis s’éloigne d’elle pour sortir du champ. La petite s’avance avec une baguette de pain qui fait presque sa taille.